Par Luc MICHEL
ELAC-RESISTANCE !
Service de Presse du PCN / REVUE DE PRESSE /
PCN-NCP Press Office / PRESS REVIEW :
(2011.08.25/ Sources : Reuters/ AFP/ ARRAI TV/ Al Orouba TV/
Le Quotidien d’Oran/ Correspondances de Libye)
Toutes nos sont Infos vérifiées !
Méfiez vous des infos des media de l’OTAN, mais aussi des fausses infos des agents iraniens infiltrés comme journalistes à Tripoli. Depuis ce lundi, l’IRAN soutient officiellement le CNT. ET ses agents veulent semer le chaos !
Ces mercredi et jeudi, de violents combats se poursuivent partout. A tripoli, dans de nombreux quartiers. Mais aussi à l’Ouest et en Cyrénaïque.
Les rebelles islamo-monarchistes et leurs alliés de l’OTAN – Russia Today confirme le débarquement de 5.000 soldats de l’OTAN et du Qatar à Tripoli – étaient toujours aux prises avec des partisans de Mouammar Kadhafi ce jeudi à Tripoli.
« L’Otan apporte son aide en matière de renseignement et de reconnaissance aux rebelles libyens », confirme le ministre britannique de la Défense, Liam Fox.
Kadhafi est redevenu le grand communicateur. Multipliant les messages et organisant la Résistance !
Dans un court message audio diffusé par ARRAI, une télévision syrienne sur satellite, Mouammar Kadhafi a appelé les tribus de Libye à combattre "l’intervention étrangère" et à "détruire" les rebelles à Tripoli.
Dans un autre message, narguant ses adversaires, Mouammar Kadhafi a enregistré une intervention sonore diffusée par la télévision loyaliste Al Orouba. Il a affirmé que ses partisans constituaient "la majorité écrasante" de la population libyenne et leur a demandé de marcher sur Tripoli avec femmes et enfants pour "purifier" la ville des "rats, des croisés et des infidèles".
« Deux jours après la chute de la résidence fortifiée de Mouammar Kadhafi à Tripoli, ses partisans semblent encore tenir la ville de Syrte, bastion de sa tribu, et celle de Sebha, plus au sud », écrit Reuters. Ils résistent également dans plusieurs quartiers de la capitale ».
Ce 25/08/2011 attaques des loyalistes autour de l’Hôtel Corinthia, face à Bab El Azizia et près de la Place Verte et du Front de mer.
D’intenses échanges de tirs ont eu lieu ce jeudi après-midi pendant environ trois quarts d’heure devant l’hôtel Corinthia Bab Africa, dans le centre de Tripoli où de nombreux journalistes sont installés, a indiqué une journaliste de l’AFP sur place. "Les échanges de tirs ont duré une quarantaine de minutes et ont cessé vers 14H30 (12H30 GMT)", selon cette journaliste qui a entendu des tirs d’armes légères toucher la façade et vu des débris de béton voler. Plusieurs impacts de balles étaient visibles sur la façade de l’établissement après cet échange de tirs nourris auquel ont participé des snipers, a indiqué la journaliste. Des batailles de rues ont également eu lieu autour de l’établissement. L’Hotel Corinthia, un des établissements luxueux de la capitale, est située à quelques centaines de mètres de la vieille ville.
Dans la journée de mercredi, des combats se sont poursuivis à Bab al-Aziziya, autour du QG du colonel, et dans le quartier voisin d’Abou Slim, fief des troupes fidèles au régime. Dans la journée, les rues du centre-ville sont restées quasi-désertes, en raison de la présence de tireurs embusqués. Selon l’AFP, « les forces pro-Kadhafi sont désormais concentrées dans les quartiers d’Abou Salim et de Hatba Charkia. La majorité des troupes, équipées d’armes lourdes, se trouvent dans le premier, tandis que le deuxième est surtout le siège de tireurs embusqués sans arme lourde ».
Pour les rats du CNT combattant à Tripoli, une autre priorité était la sécurisation de la route menant à l’aéroport, où ils se heurtaient à une résistance acharnée.
Le Quotidien d’Oran (Algérie) confirme que la partie était loin d’être finie, comme le prétendent les medias de l’OTAN : "Lundi soir, le chef du CNT a confirmé que la bataille pour Tripoli n’était pas encore terminée (…) mais nous ne pouvons pas dire que nous contrôlons Tripoli », a-t-il reconnu. Des affrontements se déroulent à «Bab al-Aziziya et certaines zones alentour ne sont toujours pas sous notre contrôle », a-t-il ajouté"
Encadré par les soudards de l’OTAN, les rats du pseudo CNT ont commencé une épuration sanglante à Tripoli. Comme ils l’ont fait partout où ils sont entrés dans une ville. Reuters confirmait ce jour des exécutions sommaires en nombre : « Une trentaine d’hommes, probablement des combattants pro-Kadhafi, ont été tués dans un camp militaire du centre de Tripoli, a rapporté un journaliste de Reuters sur place. Deux au moins avaient les mains liées, ce qui laisse supposer une exécution sommaire. »
Mais sur le front Est, les rebelles ont reconnu faire face à une résistance inattendue à Ben Jawad, qui entrave leur progression vers Syrte. Reuters : « pour ses troupes (de Kadhafi) qui défendent la route de Syrte, son fief dans le centre de la Libye, le combat continue ». AFP : « Les rebelles libyens font face à une résistance inattendue des forces loyalistes à Ben Jawad (est), entravant leur progression vers le fief kadhafiste de Syrte. Les forces pro-Kadhafi ont mis en place tout un système de lignes de défense pour barrer l’accès à Syrte, la ville d’origine de Mouammar Kadhafi, et n’ont pas donné suite aux propositions de négociation. »
Comme à Tripoli, les soudards de l’OTAN sont sur le terrain. « Des Français et Britanniques opérant en civil sont déployés depuis plusieurs semaines sur le front Est aux côtés des rebelles libyens. Ces éléments sont installés dans l’enceinte de la raffinerie à l’arrêt de Zuwaytinah, centre de commandement rebelle pour le front Est, à environ 150 kilomètres au sud-ouest de Benghazi, le siège du Conseil national de transition », précise Reuters.
Et dans l’Ouest, des forces loyales à Mouammar Kadhafi encerclaient et bombardaient Zouara, sur la route côtière menant à la frontière tunisienne. Les rebelles, qui ne tenaient que le centre-ville, ont demandé l’aide de l’OTAN.