Le Website tunisien TUNISIE SECRET (*) revient (15 Mars 2013) sur le dernier éditorial de Luc MICHEL sur l’Algérie et confirme ses informations sur le vrai visage du pseudo « printemps arabe » …
PCN-SPO avec Tunisie Secret /
Revue de Presse / 2013 04 07 /
Extraits :
«
L’implication de Ghannouchi et Marzouki dans l’exportation du « djihad » en Syrie n’est plus un secret pour personne. Ce qui est moins connu en revanche, c’est que
D’où l’intérêt de diffuser cet article de Luc Michel, qui retrace l’origine du cyber-collaborationnisme en citant les pseudos ONG américaines, notamment Freedom House et OTPOR, chargées de recruter et de former les jeunes candidats à la « révolution 2.0 ». Notons que Samir Dilou, dans un communiqué du 13 février dernier, a démenti l’information selon laquelle Freedom House a formé 200 activistes algériens, ainsi d’ailleurs que l’ouverture d’un bureau de Freedom House à Tunis. C’est évidemment un mensonge car, c’est David Kramer, président de cette pseudo ONG, qui avait annoncé en novembre 2012, lors de sa visite en Tunisie, l’ouverture imminente de leur bureau à Tunis. Samir Dilou a raison de mentir : il est lui-même membre de
Des clones de cyber-collabos tunisiens pour déstabiliser l’Algérie
En Algérie, les réseaux de déstabilisation sont en place depuis la fin 2010. Ils se sont déjà fait la main en Janvier puis en août-septembre 2011. La crise libyenne, l’assaut contre
OPTOR/Canvas, encore et toujours…
Ces réseaux de déstabilisation, il ne faut pas les confondre avec les réseaux djihadistes chargés, eux, ensuite, de transformer l’insurrection en guerre civile. Derrière ces réseaux, on retrouve les activistes arabes formés à Belgrade et aux USA par le réseau OTPOR et CANVAS (1) son école de subversion, financés par
L’article original sur :
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(*) L’équipe de TUNISIE SECRET se présente comme suit :
« Lorsque nous avons lancé notre blog tunisie-secret.over-blog.com, en mai 2011, nous étions loin de penser que nous allions avoir un tel succès à peine dix mois plus tard. Nous n’étions que quatre et, en toute sincérité, nous n’avions aucune expérience journalistique. Deux juristes, des copains de fac, un ingénieur franco-tunisien, et un jeune étudiant en sciences-po. Quatre personnes réunies autour de la même cause : une Tunisie libre, avec un régime démocratique, moderniste et en adéquation avec l’humanisme universel.
Nous y avons cru et rêvé lorsque Ben Ali est tombé le 14 janvier 2011. Comme beaucoup d’autres tunisiens, nous étions d’autant plus fiers d’appartenir au premier pays du « printemps arabe », que nous y avions, chacun de son côté, modestement contribué. Mais très vite, nous avons été habités par le doute, puis le doute s’est transformé en conviction, puis la conviction s’est mue en colère. D’abord par rapport à notre propre pays, où la révolution de
Dès lors, nous nous sommes juré de tout mettre en œuvre pour dévoiler l’imposture de la « révolution du jasmin » et déconstruire le mythe du « printemps arabe », qui a d’ailleurs très vitre tourné à l’hiver islamiste. Qu’on se le dise tout de suite, nous ne sommes pas un journal neutre. La neutralité n’existe dans aucun journal et dans aucun pays du monde. Si ce n’est pas le pouvoir d’un groupe politique, ou l’influence d’un lobby quelconque, c’est le pouvoir de l’argent qui détermine la ligne éditoriale d’un journal.
Nous ne sommes pas neutres car l’obscurantisme islamiste est notre ennemi, la démocratie française notre modèle, le respect des droits de l’homme et l’humanisme laïc, les idéaux que nous défendons. »
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Photos :
Luc Michel à Tunis, entre deux missions en Libye, en Avril 2011.