# SUR PRESS TV (IRAN)/ LUC MICHEL DANS ‘REPORTAGE’ (03 JUILLET 2017) : PROCES DIT DES ‘BIENS MAL ACQUIS’, UN COMPLOT OCCIDENTAL CONTRE LES DIRIGEANTS PANAFRICANISTES

PressTV- LM GE 03 JUILLET 2017

PRESS TV, la télévision iranienne internationale francophone,
interroge Luc MICHEL (géopoliticien, président de PANAFRICOM) :
« Le premier procès de l’affaire dite des biens mal acquis s’est réouvert à Paris le 19 juin 2017, date fixée suite à la décision de report du Tribunal correctionnel. Teodoro Mangue Obiang Nguema, vice-président de Guinée Équatoriale, est poursuivi pour de soi-disant « blanchiment d’abus de biens sociaux, détournement de fonds publics, abus de confiance et corruption ». Les ONG occidentales Sherpa et Transparency International France sont à l’origine de ce procès historique. Les enquêtes sont toujours en cours sur les patrimoines français des familles Bongo (Gabon) et Sassou-Nguesso (République démocratique du Congo). Alors que le feuilleton judiciaire s’annonce encore long. Quelle analyse peut-on avoir sur les procès des dirigeants africains à Paris ?
Luc Michel, géopoliticien, présente son analyse sur cette question.»

Dans ‘REPORTAGE. L’INTERVIEW’,
PRESS TV (Iran) interroge Luc MICHEL, géopoliticien,

* Voir sur le Site de PRESS-TV/
Emission complète « Reportage »
Procès des dirigeants africains à Paris
sur www.presstv.ir/DetailFr/2017/07/03/527329/Recherche-de-justice-ou-complot-occidental-
____________________
# PANAFRICOM/
PANAFRIcan action and support COMmittees :
Le Parti d’action du Néopanafricanisme !

* Suivre Panafricom-Tv/
https://vimeo.com/panafricomtv
* Découvrir notre WebTv/
http://www.panafricom-tv.com/
* Voir notre Page Officielle Panafricom/
https://www.facebook.com/panafricom/
* Aborder notre Idéologie panafricaniste/
Panafricom II – Néopanafricanisme
https://www.facebook.com/Panafricom2/
* Panafricom sur Twitter/
@Panafricom
https://twitter.com/Panafricom

Ce contenu a été publié dans - Français. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Les commentaires sont fermés.